Les prisons françaises : bienvenue au Club Med 2.0, tablettes incluses

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Alors voilà, on y est. En 2025, la France, ce pays qui s’effondre comme une vieille baraque mal entretenue, a trouvé malin de balancer 125 millions d’euros pour offrir des tablettes Samsung Galaxy à 25 000 détenus.

Oui, des tablettes, vissées dans des boîtiers soi-disant « inviolables » – on y reviendra –, pour que ces messieurs puissent jouer en ligne, mater des séries ou commander leurs clopes comme s’ils étaient en all-inclusive à Marrakech.
Pendant ce temps, les hôpitaux ferment des lits, les écoles s’écroulent, et les victimes de ces chouchous de l’État pleurent dans le vide.

Bienvenue au Club Med carcéral, où les priorités sont aussi tordues que les cerveaux qui les pondent.

Tablettes piratées : quand les taulards deviennent des geeks

L’idée lumineuse vient de Nicole Belloubet, en 2019, une énième ministre déconnectée qui voulait « moderniser » la taule avec un intranet sécurisé.
Coût de l’opération : 5 000 euros par tablette, plus cher qu’un iPad Pro avec abonnement 5G.
Le hic ? Les détenus, plus futés que les technocrates en costard, ont craqué le système.

Sur TikTok, « rotation_59 » se filme en train de jouer à Call of Duty avec une manette, pendant que d’autres vendent des tutos à 50 balles pour pirater le Wi-Fi. Sérieux, on est où ? Dans une LAN party ou en prison ?

Et l’administration, la bouche en cœur, jure qu’elle n’a « aucun retour » sur ces magouilles.
Peut-être qu’ils devraient checker les réseaux sociaux entre deux cafés.
En attendant, y’en a qui vont bien s’amuser en zonzon quand GTA 6 sortira…

Les prisons d’hier vs les palaces d’aujourd’hui

Il y a 20 ans, la prison, c’était un matelas pourri, des murs moisis, et un bout de savon si t’avais du bol.
Il y a 10 ans, ça sentait encore le cachot. Aujourd’hui ? C’est le grand luxe.

Flashback sur Fresnes en 2021 : un karting pour les détenus, avec des pneus qui fument et des animateurs payés pour leur faire passer un bon moment.
En 2023, à Bois-d’Arcy, des ateliers cuisine avec des chefs étoilés, pendant que dehors des gamins bouffent des nouilles sans beurre.

Et maintenant, des tablettes à 5 000 euros pièce. Bientôt, on leur filera des Jacuzzis et des abonnements Spotify Premium.
Avant, un détenu prenait une baffe pour un regard de travers ; aujourd’hui, il prend une manette et une connexion 4G.

Évolution, qu’ils disent.

125 millions d’euros : et si on parlait des vraies urgences ?

125 millions d’euros pour des gadgets de taulards, ça me donne envie de fracasser un mur.
Avec cet argent, on aurait pu construire 10 petits hôpitaux, équiper les urgences où les gens crèvent sur des brancards dans les couloirs, ou réparer des écoles où les mômes gèlent parce que les radiateurs sont kaput.
On aurait pu ouvrir des refuges pour les femmes tabassées qui fuient des ordures souvent libérées en deux temps trois mouvements.
Mais non, on préfère offrir des jouets high-tech à des mecs qui ont braqué, violé ou tué.
C’est quoi la logique ? Récompenser le crime pendant que les honnêtes gens crèvent la dalle ?

Chaque euro de ce gâchis est une insulte aux Français qui triment…

Criminels VIP, victimes oubliées : le grand délire français

Et là, on atteint le summum de la connerie.
Prenez Nordahl Lelandais, le tueur de Maëlys et d’Arthur Noyer : en taule, il a son petit confort, pendant que les parents de la gamine pleurent et galèrent à joindre les deux bouts pour leurs frais juridiques.
Ou Patrick Henry, libéré en conditionnelle en 2017 après avoir étranglé un gosse – il a vécu mieux que la moitié des Français avant de replonger.

Et les victimes, elles ? Une femme violée attend six mois un psy, quand elle en trouve un, parce que les subventions manquent.
Mais pour les criminels, on trouve toujours 125 millions à claquer.

Ce pays est une farce, qui ressemble à un cirque dirigé par des abrutis qui chouchouteraient les méchants et laisseraient les gentils dans la merde…

Conclusion : la France, ce sketch grandeur nature

Résumons : les prisons françaises sont des Club Med où les détenus piratent des tablettes à 5 000 euros pendant que les victimes pleurent et que les hôpitaux s’effondrent. 125 millions d’euros dilapidés pour faire plaisir à des gars qui ne méritent que dalle, pendant que le reste du pays rame.

Moi, ça me rend fou, ça me révolte, et ça me prouve chaque jour un peu plus que la France est un asile à ciel ouvert, piloté par des clowns déconnectés qui préfèrent câliner les criminels plutôt que de sauver ce qui reste de dignité à ce pays.

Continuez, les génies, on n’a pas encore touché le fond – mais on y travaille.

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